
Comme je commence à être à court de mots pour parler de la météo, j’ai pensé vous inclure un lien qui réflète parfaitement ma situation (et comment je la vis).
Pour entendre ma situation cliquer sur ce lien.
Aujourd’hui, devant d’autres excès de la météo, j’ai décidé de jouer le jeu et d’essayer de me mouiller les pieds le plus possible. Comme un enfant. Après cela, plus de soucis. Une flaque d’eau devant moi; je pile dedans au lieu de l’éviter. Un torrent dans le chemin ? L’éviter en passant par la route ? Pas question, je passe en plein milieu, là où il y a le plus d’eau. Tiens-toé la pluie « liche » mes souliers…

À l’arrêt à la mi-parcours, en discutant avec deux jeunes suédois rencontrés au souper hier, je me rend compte qu’ils réagissent exactement de la même façon; ils pilent dans l’eau comme des enfants et oublient ainsi la pluie.
Il y a un diction qui dit que « ce qui ne tue pas rend plus fort ». Dans notre cas, c’est peut-être plus « ce qui ne tue pas rend plus fou »…



Demain notre étape est la belle ville de Pamplona. On prévoit que les pèlerins joueront beaucoup aux enfants demain encore. Deux fois plus qu’aujourd’hui selon les prévisions. Vendredi devrait voir le retour des comportements matures. Avec quelques degrés Celsius de plus en prime.
Sur ce, c’est le temps pour moi d’aller changer les boules de papier journal qui sont dans mes souliers…